Sizif se lave les mains

Les actes du quotidien, sujet de cette chronique , de ces aventures tout à fait ordinaires d’un homme tout à fait banal, prennent un relief et un éclairage particuliers en ces temps d’exception. Faire son marché devient passible d’une amende, se promener est soumis à une durée incompatible avec l’errance, emprunter les escaliers de son immeuble sans Continuer la lecture de Sizif se lave les mains

Yannick Bellon, quelque part

jamais-plus-toujours-synopsis-depliant-yannick-bellon-jean-marc-bory-bulle-ogier-loleh-bellon-1045987306_MLCoup de blues. Yannick Bellon s’est éteinte dimanche. Par l’intermédiaire d’un ami commun, j’ai eu le privilège de la rencontrer en collaborant sur son dernier projet de long métrage, en 2010. Elle avait alors plus de quatre vingt cinq ans et des projets pour au moins autant. Je garderai d’elle, au delà de ses films précurseurs Continuer la lecture de Yannick Bellon, quelque part

La cité des moments perdus

Quand j’ai découvert ce lieu hors du temps, mélancolique et vivifiant, en plein Paris, cet ilot aussi décrépi que luxuriant, j’ai eu ce sentiment d’entrer de plein pied dans la fiction, dans un univers intérieur qui me correspondait depuis toujours.

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Ne me demandez pas où il se trouve, je ne suis pas encore bien certain qu’il existe ailleurs que dans mon imagination.

Quantique de l’aborigène

Laurence de la baume, va par où tu ne sais pas, Massot éditions, livre
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Parution d’un livre de Laurence de la Baume –Va par où tu ne sais pas– publié par Massot Éditions, auquel j’ai apporté ma modeste contribution avec le plus vif intérêt.

Un livre témoignage, une enquête à la fois spirituelle et scientifique sur la conscience, le parcours d’une femme étonnante, une expérience troublante que je vous recommande bien sur… Continuer la lecture de Quantique de l’aborigène

Reflets intérieurs

La rentrée, n’est-ce pas l’occasion de rentrer en soi-même pour y apercevoir l’essentiel ?

Des myriades Continuer la lecture de Reflets intérieurs

Traitement de chic

Jean Marc ThibaultMes parents n’en revenaient pas. Enfin, j’étais payé pour écrire. Et non seulement j’étais payé, mais en plus j’écrivais des épisodes pour la série télé qu’ils ne manquaient jamais et pour l’un de leurs acteurs préférés. Moi, j’étais surtout content pour le chèque, en fermant un peu les yeux sur ma vanité d’auteur, mais j’avais tort. J’étais un jeune crétin. Continuer la lecture de Traitement de chic