Les actes du quotidien, sujet de cette chronique , de ces aventures tout à fait ordinaires d’un homme tout à fait banal, prennent un relief et un éclairage particuliers en ces temps d’exception. Faire son marché devient passible d’une amende, se promener est soumis à une durée incompatible avec l’errance, emprunter les escaliers de son immeuble sans Continuer la lecture de Sizif se lave les mains
Yannick Bellon, quelque part
Coup de blues. Yannick Bellon s’est éteinte dimanche. Par l’intermédiaire d’un ami commun, j’ai eu le privilège de la rencontrer en collaborant sur son dernier projet de long métrage, en 2010. Elle avait alors plus de quatre vingt cinq ans et des projets pour au moins autant. Je garderai d’elle, au delà de ses films précurseurs Continuer la lecture de Yannick Bellon, quelque part
La cité des moments perdus
Quand j’ai découvert ce lieu hors du temps, mélancolique et vivifiant, en plein Paris, cet ilot aussi décrépi que luxuriant, j’ai eu ce sentiment d’entrer de plein pied dans la fiction, dans un univers intérieur qui me correspondait depuis toujours.
Ne me demandez pas où il se trouve, je ne suis pas encore bien certain qu’il existe ailleurs que dans mon imagination.
Quantique de l’aborigène
Parution d’un livre de Laurence de la Baume –Va par où tu ne sais pas– publié par Massot Éditions, auquel j’ai apporté ma modeste contribution avec le plus vif intérêt.
Un livre témoignage, une enquête à la fois spirituelle et scientifique sur la conscience, le parcours d’une femme étonnante, une expérience troublante que je vous recommande bien sur… Continuer la lecture de Quantique de l’aborigène
Reflets intérieurs
La rentrée, n’est-ce pas l’occasion de rentrer en soi-même pour y apercevoir l’essentiel ?
Des myriades Continuer la lecture de Reflets intérieurs
D’aventures en devantures
Pour ceux qui aiment le lèche-vitrine et les curiosités, voici quelques devantures de boutiques, de bistrots, et même un petit théâtre méconnu. Continuer la lecture de D’aventures en devantures
Traitement de chic
Mes parents n’en revenaient pas. Enfin, j’étais payé pour écrire. Et non seulement j’étais payé, mais en plus j’écrivais des épisodes pour la série télé qu’ils ne manquaient jamais et pour l’un de leurs acteurs préférés. Moi, j’étais surtout content pour le chèque, en fermant un peu les yeux sur ma vanité d’auteur, mais j’avais tort. J’étais un jeune crétin. Continuer la lecture de Traitement de chic