Nouvelle aventure tout à fait ordinaire d’un homme tout à fait banal.
Je pense donc je suis. Ça, c’est de la punchline et de la bonne. Seulement moi, même si je m’efforce de penser, je ne suis pas Descartes et je ne sais toujours pas qui je suis vraiment. Lequel des deux suis je ou pense, hein ? ajoute Sizif en pensée, donc à l’autre lui-même, le « Je » qui suis mais qui pense aussi, comme un clone, une réplique qui réplique. Car celui qui pense suit rarement celui qui est, pendant que celui-ci hait parfois celui là, qui le pense en train d’être. Vous suivez ? Continuer la lecture de Sizif se parle